La loi Pinel comme défiscalisation en 2019
Acheter un logement en adoptant la loi Pinel comme défiscalisation en 2019 est à coup sûr un bon placement. Le gouvernement ne change rien cette année aux dispositions de la loi qui permet de cumuler d’importants avantages fiscaux avec un investissement locatif dans le neuf. Examinons les mesures en court pour mieux comprendre l’intérêt des Français pour cette niche fiscale.
Les grandes lignes de la défiscalisation loi Pinel en 2019
La loi Pinel comme défiscalisation en 2019 a encore de beaux jours devant elle, puisque le gouvernement a maintenu le dispositif entre 2017 et 2021. Il permet toujours aux investisseurs se portant acquéreurs dans le neuf de bénéficier de réductions d’impôts conséquentes, pour peu de remplir certaines conditions.
La première question que se pose tout contribuable est la suivante : combien rapporte un bien immobilier acheté en la loi Pinel au niveau des réductions d’impôts ? Pour le savoir, il faut prendre en compte 2 paramètres : le prix du logement, et la durée de mise en location planifiée. Pourquoi ? Parce que la loi Pinel comme défiscalisation en 2019 calcule le montant de la réduction d’impôts en fonction d’un taux qui croît avec la durée d’engagement du bien, sur le marché locatif. Les taux varient entre 12, 18 et 21 % du prix du logement selon que le propriétaire s’engage à louer sur des durées de 6,9 ou 12 ans. Les taux sont à rapporter au prix de revient du logementretenu pour un maximum de 300 000 €, soit 5 500 € par mètre carré.
Pour les logements loués depuis
le 1e janvier 2015, la loi autorise la location à un ascendant ou
descendant, pour peu qu’il ne fasse pas partie du foyer fiscal du propriétaire.
Des plafonds sont également imposés sur chaque zone du dispositif, relativement
à un loyer maximum applicable. Les ressources du locataire sont également
plafonnées à certains montants.
Enfin, la loi Pinel comme défiscalisation en 2019 concerne des logements neufs
ou en travaux, qui doivent respecter les règles en vigueur quant à la performance énergétique.
Ce qui change en 2019
Depuis le 1er janvier
2018, la loi Pinel a resserré son dispositif autour des zones dites tendues, où
la pression locative est très forte (lire sur https://www.immoz.info/ : les évolutions du marché
immobilier en 2015). Cela concerne des endroits où la demande en termes de
logement est plus forte que l’offre, soit les zones A,
A bis et B1. Les logements situés sur des communes couvertes par un
contrat de redynamisation des sites de défense sont aussi éligibles au
dispositif de la loi Pinel comme défiscalisation en 2019.
Les investisseurs ne sont donc plus libres quant au choix du lieu de leur
investissement locatif. Ce sont les villes de plus de 250 000 habitants
comme Paris, Lyon et Montpellier qui sont censées drainer les investissements Pinel
pour 2019.
Cette année est aussi celle qui marque l’entrée en vigueur du prélèvement à la source. Elle amène avec elle d’importants changements dans le règlement des crédits d’impôt. Le législateur a donc choisi de privilégier les contribuables ayant recours à la loi Pinel comme défiscalisation en 2019. Le versement anticipé de 60 % de leur avantage fiscal leur a été versé le 15 janvier dernier. Une façon de les rassurer quant au maintien de leur pouvoir d’achat, pour les encourager à continuer à investir en Pinel.
Bon à savoir : la loi Pinel prévoit une limite de 2 achats par an pour un montant de 300 000 € maximum. Les logements concernés doivent être mis en location dans un délai de 12 mois, à compter de leur délai d’achèvement ou de livraison.
2019 demeure une bonne année pour investir en loi Pinel. Les contribuables auront encore 2 ans pour en profiter puisque le dispositif est reconduit jusqu’en 2021.